Vous grignotez entre les repas, vous avez pris l'habitude de vous resservir plusieurs fois à table, vous mangez des aliments trop riches ou trop sucrés…et même si vous savez très bien au fond que vous ne devriez pas le faire, vous n'arrivez pas à arrêter ? Sans risque et sans avoir à passer par un régime, l’hypnose pourrait bien vous aider à maigrir.
Comment l’hypnose peut-elle aider à maigrir ?
En vous empêchant de faire ce que vous n’arrivez pas à arrêter de faire de manière consciente ! Eh oui, c'est en travaillant directement avec votre inconscient que nous allons vous permettre de vous débarrasser de vos mauvais réflexes et mauvaises habitudes alimentaires.
Comment va se dérouler le travail sous hypnose ?
Dans un premier temps, je vais chercher à comprendre d’où viennent ces mauvaises habitudes et quels sont les réflexes qui favorisent chez vous la prise de poids. Je vais vous poser un certain nombre de questions afin d'étudier votre rapport à l'alimentation et d'évaluer les traumatismes qui induisent ces mauvais comportements.
Ensuite et grâce à des techniques d'induction, je vais vous plonger en état dit "hypnotique" pour que nous puissions travailler en profondeur sur vos problématiques. Je vais vous aider à modifier votre vision des choses et à mettre en place de nouveaux automatismes afin de vous aider à maigrir.
Vous l’aurez certainement compris, ce n’est donc pas l’hypnose en elle-même qui fait maigrir, mais cette technique peut vous aider modifier vos comportements alimentaires et votre rapport à l’alimentation pour vous aider à perdre du poids.
Combien de séances faut-il pour obtenir des résultats ?
On compte en moyenne entre 3 à 5 séances pour commencer à créer le changement. Le nombre et la fréquence des séances sont adaptés à chaque personne, selon les objectifs et le contexte personnel.
Des exercices entre chaque séance pourront être recommandées en complément de manière à installer durablement le changement.
Hypnose et troubles alimentaires graves : boulimie, anorexie...
L’hypnose est efficace mais pas toujours suffisante. Lorsque le trouble est installé depuis trop longtemps ou que la vie de la personne est en danger, une prise en charge globale est indispensable.